Deux ans après la sortie de la Lift, son premier modèle de souris ultralégère, NZXT en commercialise une nouvelle version… ou plutôt deux nouvelles versions et une édition spéciale. Ainsi, l’Ergo est un modèle logiquement ergonomique tandis que la Symm se veut plus passe-partout. Nous testons cette dernière dans son édition Starfield, à l'effigie du jeu bien sûr.
- Design réussi avec option Starfield
- Pas la moindre LED RVB
- Ergonomie parfaite, souris légère
- Câble souple bien agréable
- Prix qui reste contenu
- Pas de modèle pour gauchers
- Boutons un peu « mous »
- Pas d'indicateur de sensibilité
Fiche technique NZXT Lift 2 Starfield
Résumé
Ergonomie
Caracteristiques techniques
Caractéristiques physiques
Une souris simple et très légère
Présent sur à peu près tous les fronts de nos PC depuis le boîtier jusqu’à la carte mère en passant par les systèmes de refroidissement et les périphériques, NZXT est connue et reconnue pour la sobriété de ses produits. Les souris Lift 2, qu’il s’agisse de l’Ergo, de la Symm ou de la Starfield ne dérogent pas à la règle en évitant tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à de l’accessoire.
Les boutons au niveau du pouce sont parfaitement accessibles © Nerces pour Clubic
La Starfield se permet quelques artifices afin de plonger dans l’univers du jeu de Bethesda, mais cela reste mesuré. Un seul coloris est ici disponible – contre deux (noir ou blanc) sur les modèles Ergo et Symm – et inutile de chercher la moindre LED. Cette sobriété est aussi liée à la volonté de proposer une souris aussi légère que possible : à 58 grammes pour la Symm ou la Starfield (61 g pour l’Ergo), la souris est encore un peu plus légère que la Lift 1 (67 g).
NZXT s’est toutefois arrangée pour éviter la structure nid d’abeille qui ne sied pas à tous les joueurs, mais il ne faut en revanche pas espérer de modèle sans-fil : électronique et batterie rendent difficile le passage sous les 70 grammes. De la même manière, la molette est un simple modèle bidirectionnel et l'on doit se contenter de deux boutons supplémentaires au niveau du pouce en plus d’un bouton à l’arrière de la molette pour régler la sensibilité du capteur.
De gauche à droite, les Lift 2 Ergo, Lift 2 Symm et Lift 2 Starfield © NZXT
En revanche, si côté design la simplicité est de mise, NZXT avance des spécificités techniques parmi les plus élevées du marché. Certes, il y a plus « sensible » que le capteur optique PixArt PMW3395, mais à 26K points par pouce, il y a plus que de quoi faire alors que la vitesse de 650 IPS et la possibilité d'encaisser des accélérations de 50G sont annoncées. Enfin, NZXT souligne un taux d’interrogation (polling rate) jusqu’à 8 000 Hz. Presque trop.
Et à l’usage, ça donne quoi ?
De telles caractéristiques sont importantes pour bien figurer aux côtés des autres souris gamer, mais cela a nécessairement un impact sur le prix de la Lift 2. Dommage que NZXT se laisse ainsi aller à la surenchère, car rares sont les joueurs à avoir besoin de telles sensibilité/réactivité. En revanche, soulignons l’excellente ergonomie de la souris, et ce, sans qu’il soit nécessaire de se tourner vers le modèle Ergo, les Symm et Starfield sont déjà très agréables.
Les trois modèles sont conçus pour les joueurs droitiers, aucune version ambidextre ou pour gaucher n'est prévue. Dommage. En revanche, qu’il s’agisse de la prise en main ou du confort d’utilisation, même sur de très longues sessions de jeu, c’est remarquable. Bien sûr, cela dépendra des habitudes de chacun et de la taille de votre main, mais en utilisation palm grip (tenue avec la paume), la Starfield est un modèle de confort.
C'est sous la souris que l'essentiel du poids a été gagné © Nerces pour Clubic
Les boutons principaux comme ceux au niveau du pouce tombent parfaitement sous les doigts. La molette est accessible sans la moindre difficulté de même que le bouton de gestion de la sensibilité, reconfigurable bien sûr. Il n’est pas question d’ajuster le poids de la souris et le câble USB n’est pas détachable, mais NZXT a opté pour un modèle souple très pratique et de bonne longueur (2 mètres) qui ne pose donc pas le moindre problème.
Pour ne rien gâcher, c’est une fois encore le logiciel NZXT CAM qui permet de gérer la souris. Il n’est pas obligatoire, mais permet d’accéder aux cinq profils que l’on peut stocker dans la mémoire interne de la souris, il sera aussi utile pour ajuster les paliers de sensibilité (de 100 à 26 000 ppp par pas de 50 ppp) ou jouer sur le taux d’interrogation (125, 250, 500, 1000, 2000, 4000 ou 8000 Hz) et sur la hauteur de levage (1 ou 2 mm).
NZXT CAM peut sembler rustique, mais s'avère bien pratique © Nerces pour Clubic
Dans son concept, NZXT CAM est à rapprocher de Corsair iCUE en ce sens qu’il permet de contrôler tous les produits NZXT en une seule interface. Pratique. Il est aussi plus léger que son concurrent, même si un peu moins puissant, un peu moins ouvert. Bien sûr, dans sa partie dédiée à la Lift 2, il autorise toutes sortes de fantaisies au niveau de l’assignation des commandes et de la création des macros. Impeccable.
NZXT Lift 2 Starfield : l'avis de Clubic
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